Menaces embrouilles et doléances : aujourd'hui, le chantage sur WhatsApp. Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd'hui, le chantage sur WhatsApp. langue de Toutce que je voyais à l’écran, c’était la vidéo, de mes actions, diffusée en boucle. Cette jeune femme m’interdisait, en même temps, de couper Skype. Elle m’insultait en menaçant de la diffuser sur YouTube, ainsi qu’une autre dizaine Vidéosaccadée lors de sa diffusion sur Teams. Bonjour, J'ai organisée une réunion Teams avec des collègues. Lors de cette réunion j'ai partagé mon écran et diffusé une vidéo (format MP4). Mes collègues voyaient la vidéo complètement saccadée. Comment faire pour éviter ce problème? D'avance merci de votre réponse. Jesignalais juste que ce genre de diffusion avait des conséquences, rares, mais toujours inutiles et souvent mal dirigées. Et j'y rajoutais mon point de vue sur le nauséabond de la méthode, un ressenti personnel, rien de plus. Sur ta remarque à oulianov, j'ai envie de te répondre que tu as raison mais que les trajets du quotidien croisent moins souvent le chemin de Lechantage est de taille. Un habitant d'Hulu Langat dans le Selangor, a menacé sa femme de mettre en ligne une vidéo montrant leurs ébats sexuels sur la Toile si elle insistait pour divorcer. La YouTubeest une plateforme de partage de vidéos d’une popularité incomparable. Certains auteurs sont même devenus de véritables stars. Professionnels, institutions et particuliers utilisent YouTube comme un canal de diffusion, de publicité ou simplement de communication. Si vous souhaitez partager une vidéo, YouTube est donc l’un des meilleurs moyens d’aller à la x3chG. Publier des contenus sur Instagram peut-il nuire professionnellement? Voici la question que se posent aujourd'hui trois amis accusés de racisme depuis vendredi sur les réseaux sociaux et désormais menacés de licenciement par leurs une vidéo, visionnée par plus d'un million de personnes, on voit une jeune femme danser avec le visage grimé en noir et vêtue d'un boubou africain, pendant qu'un homme imite un singe avec un masque de macaque. Le tout sur le son de Saga Africa », et sous les éclats de rire de la dernière à ce bad buzz » et à un appel à boycott, la société Le Slip français a convoqué ses deux collaborateurs et les a mis à pied à titre conservatoire. L'écurie chinoise de sport automobile DS Techeetah affirme également au Parisien avoir suspendu » son employée, celle de la danse et du black face ».Le droit du travail se trouve de plus en plus confronté à ce type de dossiers à mi-chemin entre sphère privée et sphère professionnelle. On se souvient du cadre de Nocibé suspendu pour ses propos racistes ou encore des journalistes virés dans le cadre de l'affaire de la Ligue du LOL ». Ces problématiques sont très techniques et se règlent souvent au cas par cas », relève François Vaccaro, avocat en droit du travail au barreau de Paris. Pour lui, le cas des trois employés accusés de racisme peut déboucher sur des sanctions, voire à un licenciement, mais a peu de chances d'aboutir sur le terrain disciplinaire ». Un trouble objectif dans le fonctionnement de l'entreprise »En principe, en effet, un acte privé ne peut motiver aucune sanction disciplinaire. Et cela qu'il s'agisse d'un blâme ou d'un licenciement pour faute grave ou lourde. Il existe bien une exception en cas de manquement à une obligation de son contrat de travail ». Mais cela concerne surtout des cas de probité », comme cet agent des caisses d'allocations familiales débarqué en 2003 en raison de fraude aux prestations sociales. Ou ce cadre dans une banque viré en 2011 après avoir été condamné pénalement pour vol et trafic de soirée blackface provoque l'indignationIl y a néanmoins une autre façon de se séparer d'un employé pour son comportement en dehors du bureau, sans passer par la sanction disciplinaire. La direction doit alors prouver que ces agissements créent un trouble objectif dans le fonctionnement de l'entreprise ».À partir de là, c'est du cas par cas », concède François Vaccaro. Par exemple, un représentant commercial qui perd son permis de conduire après avoir trop bu en sortie de discothèque peut être limogé à ce titre-là par sa boîte. Son patron peut estimer qu'il n'est plus en capacité de remplir sa mission sans voiture ». Même chose pour une insulte raciste envers un le niveau du bad buzz, et non la dimension racisteC'est principalement dans ce cadre-là que vous pouvez être menacé de licenciement en raison de votre activité sur Facebook, Twitter ou Instagram. L'entreprise peut alors dénoncer une atteinte à son image ou considérer que son agent n'est plus opérationnel car devenu genre de motif concerne notamment les salariés en lien avec de la clientèle ou disposant d'un poste exposé. Ce qui semble être le cas des collaborateurs du Slip français. Charge toutefois au service juridique de récolter des preuves. Boîtes mails remplis de critiques de consommateurs, vague de contestation sur les réseaux sociaux, création d'une cellule de crise… tout est bon pour remplir le dossier », résume l' prud'hommes, les juges auront ensuite à décider si les retombées d'un bad buzz sont telles qu'elles justifient un licenciement. Cela peut paraître bizarre à première vue mais il ne sera pas question de statuer sur le caractère ou non raciste du comportement. Après, on imagine que cela influencera forcément les juges », conclut Me François noter que cette démarche a aussi un coût. Contrairement à une procédure disciplinaire, l'entreprise sera dans l'obligation de verser à son collaborateur une indemnité légale de licenciement, un préavis et une indemnité compensatrice de congés payés. Mais nul doute que certaines sont prêtes à pareil effort pour laver » leur réputation face à la pression publique. •L’entrepreneur Grâce Divine Mougnok est dans de sales draps. •Elle est menacée par son ex qui détient depuis plusieurs années, des photos osées d’elle. •Ce dernier menace de publier ces photos. C’est l’entrepreneur qui publie l’information sur sa page Facebook. Dans sa publication, elle annonce que cette menace plane sur elle depuis plusieurs années. Je vis depuis plusieurs années dans la peur que ce scénario se reproduise. Il y’a quelques années de cela, alors que la flèche de cupidon m’avait atteinte, je filais le parfait amour. Jeune, amoureuse, insouciante, incapable d’imaginer la portée de certains actes. Je partageais alors avec mon amoureux des photos de moi, on passait des heures au téléphone puisque la distance nous séparait. Ce qui était pour moi une raison, un acte permettant de garder les flammes de notre amour allumé est devenu mon pire cauchemar. En effet, après moult infidélités, après moult trahisons, injures et humiliations, je décide de mettre fin à cette relation. Un acte qui va occasionner la haine de mon ex compagnon’, explique l’entrepreneure. Un soir alors que je rentrais des cours, je reçois des photos à demie nue de moi par un numéro inconnu. Je n’avais pas eu le temps de comprendre ce qu’il se passait que j’ai reçu un coup de fil d’un numéro inconnu. La voix au téléphone est celle de mon ex me donnant deux possibilités. 1- Me remettre avec lui; 2- Voir ma nudité sur les réseaux sociaux. Dans la peur, je choisis l’option une et en deux semaines j’ai vécu les pires moments de ma vie. Les souvenirs me font encore sursauter et me donnent la chair de poule. Si vous avez l’habitude de me suivre, une vidéo d’une formation que je donnais sur comment concilier vie professionnelle et familiale publiée sur la page du Dr Claudel Noubissie, je décris une scène où j’ai fait deux semaines sans manger et sans boire. Les gens ont trouvé que je faisais de storytelling pourtant c’était vraie’, ajoute-t-elle. Grâce Mougnok n’est pas la seule camerounaise à avoir été menacée par son ex qui détient des photos d’elle nue. Le Dr Modestine Carole Yonzou avait vécu une histoire pareille il y a quelques mois. Son ex, Amer Kamer avec qui elle a passé quelques mois avait menacé de diffuser des photos d’elle en tenue d’Eve sur les réseaux sociaux. Ceci, afin de l’obliger à continuer sa relation avec elle. L’on se rappelle que cette affaire avait créé un buzz sur les réseaux sociaux où les deux protagonistes sont très actifs. Post Views 49 Votre meilleure amie, votre sœur, votre cousin voire des personnalités publiques comme Benjamin Griveaux nombreuses sont les personnes ayant été victimes de revenge porn. Ces images, vous les aviez transmises à votre concubin, votre partenaire sexuel, dans le but de le séduire, le charmer. Or, il en a fait mauvais usage et les a diffusées. Il est également possible qu’elles aient fait l’objet d’un piratage. Alors, comment sont sanctionnées ces personnes portant atteinte à votre vie privée. Qu’est-ce que le revenge porn ou vengeance pornographique ? Vous êtes victime de revenge porn ou pornodivulgation si une personne diffuse, sans votre accord, des images ou enregistrements intimes, à caractère sexuel ayant initialement pu être prises ou obtenues avec votre consentement. Cette infraction protège le droit à l’image. L’infraction est consommée dès lors que ces images ont été diffusées que ce soit par l’envoi d’un simple message WhatsApp, d’une publication sur les réseaux sociaux Instagram, Snapchat, Facebook ou sur internet ex site pornographique tel que pornhub, blogs, etc.. Le revenge porn est sévèrement sanctionné par le Code pénal depuis 2016. En effet, l’article 226-2-1 du Code pénal sanctionne désormais cet acte et vient pallier un vide juridique laissé par les dispositions des articles 226-1 et 226-2 préexistants. L’auteur de revenge porn encourt une peine de 2 ans d’emprisonnement et euros d’amende. Qu’est-ce qu’une image à caractère sexuel ? Une image est à caractère sexuel dès lors que celle-ci représente une activité sexuelle explicite ou de la nudité totale ou partielle. Il en est ainsi d’une photo ou d’une vidéo montrant une personne dénudée plus communément appelée nude », la poitrine d’une femme ou d’un homme, le sexe ou les fesses de la personne, des images en sous-vêtements. Le caractère sexuel de l’image reste subjectif et est librement apprécié par le juge. Qui peut être sanctionné ? Toutes les personnes ayant concouru à la diffusion des images peuvent être sanctionnées votre conjoint, un intermédiaire, un hébergeur web, toute personne ayant partagé et rediffusé les images. Ainsi, une personne ayant relayé les images, par un retweet par exemple, encourent la même peine que la personne à l’origine de la publication. Cette sanction est également applicable à la personne ayant communiqué le lien pour accéder à la vidéo. Quid si la victime est mineure ? Si vous avez moins de 18 ans et que vos photos ou vidéos à caractère sexuel/pornographiques ont été diffusés, l’auteur de cette diffusion ou de l’enregistrement encourt une peine de 5 ans d’emprisonnement et euros d’amende. La menace de diffusion est-elle sanctionnée ? La menace de diffuser des images sexuelles de vous, ou de révéler des faits pouvant porter atteinte à votre honneur malformation, pratiques sexuelles, etc., si vous n’accomplissez pas un acte constitue l’infraction de chantage et est sanctionné par 5 ans d’emprisonnement et euros d’amende Art. 312-10 du Code pénal. Quel comportement adopter si les images ont été diffusées ? Il convient dans un premier temps de déposer plainte au commissariat et de ne pas passer ces actes sous silence. Dans un deuxième temps, vous avez le droit de demander l’effacement de ces images en ligne. C’est le droit à l’oubli » Art. 17 du règlement UE 2016/679. Finalement, vous pouvez vous faire aider et simplement en parler. Un site internet et un numéro de téléphone 0800 200 000 existent pour aider et écouter les personnes ayant été victimes de cette infraction. Rédaction P. BRANDYInfographie P. BRANDY

menace de diffuser une vidéo de moi